|
|
|
PROCHAINEMENT:
75 ANS DE RENCONTRES À CAUX
75 ans de rencontres, 75 ans de récits, 75 ans de personnes de tous horizons et du monde entier dont la vie a été touchée par notre centre de conférences et de séminaires à Caux !
Un kaléidoscope d'événements, principalement en ligne, rappellera la riche histoire du centre et l'impact du travail de réconciliation, des programmes de formation et des conférences qui y sont organisés.
Découvrez d'autres histoires de notre série 75 ans de récits, inscrivez-vous à l'événement artistique en ligne Source et inspiration le 29 mai, participez au prochain Caux Forum Online, à la Journée de la gratitude le 1er août, et bien d'autres événements encore...
Nous nous réjouissons de célébrer avec vous !
|
|
|
|
|
5 juillet - 1 août 2021:
Caux Forum Online
Comme l'été dernier, le Caux Forum 2021 (5 juillet - 1er août) se déroulera en ligne dans le cadre d'une série d'événements riches et créatifs, célébrant notre centre de conférences à Caux et 75 ans de rencontres ! Restez connecté-e-s et inscrivez-vous en juin !
|
1 août 2021:
Journée de la gratitude
Rejoignez-nous pour célébrer non seulement le cadeau de ces familles et individu-e-s suisses qui ont acheté le Caux Palace il y a 75 ans, mais aussi le rôle du centre en tant que catalyseur du changement depuis 1946.
|
|
|
75 ANS DE RÉCITS - PARTIE 2
|
|
1951 - Maurice Mercier: « Pas un cri de haine »
«Il aurait semblé tout à fait à l'aise, servant derrière un bar au coin de la rue», écrit le Suisse Jean-Jacques Odier à propos de sa première rencontre avec Maurice Mercier. Mais les séjours de Mercier à Caux ont débouché sur un accord sectoriel transformant les conditions de travail et les relations industrielles entre les travailleurs et leurs employeurs dans l'industrie textile française.
|
1952 - Elsbeth and Adam Mclean: Un mariage à Caux
Lorsqu'Elsbeth Spoerry travaillait à remettre en état un Caux Palace passablement abîmé pour y accueillir les premières conférences en 1946, elle était loin de se douter que, six ans plus tard, elle s'y marierait avec plus de 1000 invités qui participaient à la conférence.
.
|
1953 - Mohamed Masmoudi: « Arrête de maudire les Français »
En 1953, Mohamed Masmoudi, un jeune nationaliste tunisien qui mène une existence semi-clandestine, vient à Caux. C'est d'ailleurs plus ou moins clandestinement qu'il avait passé la frontière suisse. À Caux, il perd sa haine du peuple français et devient plus tard le premier ambassadeur tunisien en France après l'indépendance de son pays.
|
|
|
|
1954 - Sadie Patterson: « Enterrer la hache de guerre ou enterrer les morts »
Lorsque Saidie Patterson, une syndicaliste d'Irlande du Nord, prend la parole à Caux en 1954, elle tient à souligner que le Réarmement Moral (aujourd'hui Initiatives et Changement) n'avait pas affaibli son esprit combatif. « Je pensais que c'était quelque chose qui vous ramollissait, et j'ai lutté contre cela pendant très, très longtemps. Mais croyez-moi, mes amis, j'ai découvert qu'il est beaucoup plus difficile d'aimer une personne que de la haïr ».
|
1955 - Liberté: « Pensez-vous que vous pourriez écrire une pièce de théâtre? »
« Nous avons été catapultés dans l'histoire », déclare Manasseh Moerane, l'un des trois scénaristes de Liberté. La pièce de théâtre est vue par 30 000 personnes dans toute l'Europe et la demande était si forte qu'ils décident de faire un film. Liberté est considéré comme le premier long-métrage écrit et interprété par des Africain-e-s et tourné en Afrique.
|
1956: Les Zeller: Une famille s'investit à Caux
« Nous avons eu la grande joie de décider de vendre notre maison et de donner l'argent à Caux », a déclaré Anneli Zeller en 1956. Les trois enfants de la famille - Berti, Hildi et Robert - ont également travaillé pour Initiatives et Changement et sont devenus des visages familiers de Caux au cours des six décennies suivantes.
|
|
|
|
1957 - Jessie Bond:
«J'ai vu sa grandeur»
Jessie Bond avait du mal à gérer ses quatre enfants et les fréquents accès de colère de son mari et elle envisageait sérieusement de le quitter lorsqu'ils sont allés passer l'été en Suisse, à Caux. Un temps de réflexion tranquille lui a permis de voir son mari sous un jour nouveau et a contribué à sauver son mariage.
|
1958 - Angela Elliott: À l'école à Caux
Angela Cook (plus tard Elliott) est arrivée à Caux en 1958, à l'âge de quatre ans. Elle y a passé les cinq années suivantes, tandis que ses parents travaillaient en Asie et aux Etats-Unis. Elle fait partie des quelques 40 enfants qui ont vécu à Caux à différents moments entre 1955 et 1965, et qui ont fréquenté une petite école dans un chalet situé à la montagne, à proximité du centre de conférence. .
|
1959 - Lennart Segerstråle: « L'art doit représenter un danger pour le mal »
En 1959, une vaste fresque est dévoilée sur le mur de la salle à manger du Caux Palace. Son créateur, l'artiste finlandais Lennart Segerstråle, a choisi l'image universelle de l'eau pour représenter sa vision de Caux : un lieu où les gens viennent à la source pour étancher leur soif intérieure, puis apportent l'eau de la vie à un monde assoiffé. Au centre, un personnage sombre se penche pour voir son reflet dans le puits et se relève, transformé, rayonnant de vie.
|
|
|
|
SOUTENEZ-NOUS !
En faisant un don à Initiatives et Changement Suisse, vous soutenez notre action. Grâce à ce don, nous pouvons continuer à être source d’inspiration, à former et à connecter des hommes et des femmes afin qu’ils et elles soient le changement qu'ils et elles souhaitent voir dans le monde
|
|
|
|
|
|
Si vous ne souhaitez plus recevoir nos emails, veuillez vous désabonner.
©2021 Fondation CAUX-Initiatives et Changement Suisse. Tous droits réservés.
Photo Journée de la gratitude: Adrien Giovannelli / Journée eau: Marta Dabrowska
|
|
|